top of page

Confinés !

Voilà bien une situation surréaliste ! Le tiers de l’humanité est confiné à la maison et nous en faisons partie !

Mais qui donc porte ainsi atteinte à notre liberté fondamentale d’aller et venir, de décider pour nous-mêmes ce que nous avons à faire ou non ? Une particule invisible à l’œil. Un virus ! Quelque chose qui n’est peut-être même pas vivant puisque ce n’est même pas une cellule et qui n’est même pas capable de se reproduire sauf en se dupliquant aux dépens d’une cellule infectée.

Cette particule invisible, cependant, est capable de faire ce que personne n’arrivait à faire : dissiper en quelques jours la pollution atmosphérique des villes, faire s’effondrer l’accidentologie routière et la criminalité de rue, faire taire les tyrans qui s’affrontaient au Moyen Orient !

Mais aussi bloquer toute la société humaine, tuer des dizaines de milliers de personnes, faire exploser les violences intrafamiliales, menacer l’économie mondiale et terroriser tous ceux qui craignent pour leur emploi autant que pour leur vie.

Covid-19 ! Invisible mais omniprésent ! On ne parle plus que de lui puisque tout le reste est arrêté !

Alors ! Qui est-il ce Covid-19 ? Un châtiment divin ? Une incarnation de Satan ? L’annonce de la fin du monde ?

Sur un point, soyons sûrs d’une chose, ce n’est pas un objet surnaturel ; un virus est tout ce qu’il y a de plus naturel. On peut le voir au microscope, on peut explorer son génome, on peut tenter de lutter contre lui avec des médicaments ou des vaccins. Et parfois on gagne contre lui !

Il n’est pas non plus un châtiment divin car Dieu ne punit pas vraiment mais il avertit des conséquences de certains choix ou de certains actes. Conséquence n’est pas châtiment ! Ne confondons pas.

En revanche, il y a une réalité incontournable : la Bible annonce bien la fin de l’histoire humaine et si le Covid n’est pas la fin du monde, il est peut-être bien un indicateur de grands changements à venir.

Restons vigilants car il est peut-être l'un des nombreux clignotants rouges qui s’allument et nous servent de jalons sur le tracé de l’histoire de l’humanité.

Ainsi, c’est la première fois dans cette histoire que nous assistons à une globalisation de la planète, ce que nous appelons mondialisation ; et cette globalisation est le dénominateur commun de nombreux phénomènes : les pandémies, la pollution généralisée, les changements climatiques, un changement des mentalités, l’interdépendance des peuples et des nations…

Mais même si Covid devait être la fin du monde, ce ne serait pas une mauvaise chose, car ce serait la fin de ce monde qui va de travers ("déraille") avec ses souffrances, ses perversions et la mort au bout de nos chemins. La Bible nous promet un après extraordinaire, débarrassé de ces scories, un monde sans souffrance, mort ou deuil. Et même si la dernière phase de l’histoire des hommes doit être agitée et pas réellement agréable, elle est une porte qui s’ouvre sur un après qui sera aussi l’histoire de l’humanité, mais revue et corrigée avec, en clé au début de portée, la vie dans toute sa plénitude et sans limites.

« J’entendis du trône une voix forte qui disait : La demeure de Dieu est avec les humains ! [ ] Il essuiera toute larme de leurs yeux, la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. » Apocalypse 21. 3, 4

Roland FAYARD

bottom of page